Ce travail est bien plus que de la traduction puisque le droit d’auteur français diffère sur plusieurs points du droit américain, il a donc fallu mener un gros travail d’adaptation.
Sur le métier depuis près d’un an, elle a du également se réadapter au changement de la licence américaine d’origine.
Pour ceux qui ne connaissent pas encore la licence creative commons, je vous invite à aller à http://creativecommons.org/
Elle est le fruit direct de la réflexion politique menée par et autour de Larry Lessig (cf. son dernier livre : Free culture
et le commentaire sur le site de Vecam
Pour les plus juristes d’entre vous, n’hésitez pas à participer à la
discussion publique :
Vous trouverez à l’adresse suivante la deuxième version des contrats :