Auvergne TIC

Description du projet : Le secteur TIC représente en Auvergne plus de 600 entreprises et un peu plus de 5000 actifs. L’association Auvergne TIC, regroupe 80 adhérents, acteurs de la filière : PME-PMI, grandes entreprises, centres de formations, laboratoires de recherche et partenaires publics. Après sa création début 2008 - sous l’impulsion d’une grande entreprise internationale basée à Clermont-Ferrand et de ses prestataires de service Informatique - le groupement va rapidement être soutenu par la CCI, la Région Auvergne, Clermont Communauté et le Comité d’Expansion Economique du Puy de Dôme. En 2010, suite à l’appel à projets lancé conjointement par la Région Auvergne et l’Etat, Auvergne TIC a obtenu le label "Cluster d’Excellence en Région". .Avec un CA cumulé de 22,5 M€ (hors grands groupes, télécoms et SSII), le cluster a pour principales missions :

— la valorisation et la promotion de la filière TIC auvergnate, en France et à l’International,

— l’émergence de projets collaboratifs et innovants associant centres de recherche universitaires et entreprises privées

— la mise en place de partenariats inter cluster en France et à l’étranger.

Type d initiative : Cluster régional organisé autour de l’Informatique et des TIC en Auvergne
Territoire de projet : Auvergne
Porteur(s) du projet : Les PME de la filière régionale
Date de lancement : Février 2008
Avancement (à la date de recueil) : Opérationnel
Date de recueil de l information : Mars 2011
Cible : Toute structure ayant une activité directement liée aux TIC ou pouvant avoir un impact sur le domaine : entreprises (PME-PMI locales, SSII, opérateurs d’infrastructures…), collectivités locales, organismes de formation.


1- Contexte et objectifs du projet

1.1 Contexte et origine du projet

1.1.1 Collaboration et regroupement : présentation des mécanismes favorables à l’innovation

Dans un contexte d’économie mondialisée, récemment frappée par la crise, les entreprises doivent pouvoir rapidement développer de nouveaux produits afin de se créer un avantage comparatif. Elles doivent aussi trouver de nouveaux marchés, de nouveaux débouchés. L’innovation devient de ce fait un facteur déterminant de réussite, qui peut être favorisée par la collaboration et la synergie entre monde universitaire, entreprises innovantes, financeurs (publics ou privés) et partenaires institutionnels. Un exemple frappant de ce phénomène pourrait être la Silicon Valley, région basée en Californie et haut lieu du secteur des TIC. On a attribué à cette dernière et au secteur qu’elle représente, un rôle fondamental dans la période faste de croissance américaine de la fin des années 1990.
Suite à la réussite du modèle et à la prise de conscience des enjeux de la mondialisation pour l’Economie française (rapport de Christian Blanc au premier Ministre préconisant la mise en place de ces pôles afin de renforcer la place internationale de la France dans le domaine de l’innovation et de la lutte contre les délocalisations), des réflexions pour le développement d’une politique des pôles de compétitivité sont apparues. Reproduire à l’identique le modèle américain n’était pas possible au regard des différences structurelles des deux économies mais une adaptation, impulsée par une volonté politique, était réalisable. En novembre 2004, le gouvernement lançait officiellement la politique de développement des pôles de compétitivité à travers un appel à projets de la Diact [1] , financé pour un tiers par les collectivités locales [2].

1.1.2 En Auvergne : une démarche de labellisation des groupements d’entreprises existants

« La crise actuelle nous impose d’innover, de manière à développer l’emploi en Auvergne. Au niveau régional, nous souhaitons absolument encourager l’innovation, la recherche et les transferts de technologie » [3].
De ce constat, la Région Auvergne, avec l’ARDE [4] comme Maître d’œuvre et en coordination avec l’Etat, a lancé en octobre 2009 un appel à projets : « Clusters d’Excellence Auvergne » pour favoriser les regroupements. Actuellement, 7 clusters d’excellence ont déjà été labellisés en Auvergne. La labellisation se traduit par un engagement financier de 2,1 millions d’€ sur 3 ans auprès des clusters, dont 20 % financés par la Région, 40 % par les fonds européens (FEDER) et 20 % par l’Etat [5]. C’est ainsi qu’Auvergne TIC, a répondu à l’appel à projets régional et a obtenu en 2010 le label »Cluster d’excellence en région ».

1.2 Objectifs et enjeux

L’association Auvergne TIC a 5 grandes missions :

  • Fédérer/regrouper les acteurs TIC locaux pour des projets d’envergure (nationaux, européens)
  • Animer le réseau interentreprises (réunions, évènements) dans le but d’encourager les partenariats, les échanges d’idées et les synergies
  • Etre un lien entre le monde des universités et les entreprises : pour à la fois favoriser le recrutement de personnes pour les entreprises régionales et sensibiliser les étudiants du supérieur aux réalités/besoins des entreprises de la filière
  • Mettre en place des projets collaboratifs
  • Développer une offre TIC auvergnate et la promouvoir au niveau national voir international

L’enjeux principal est donc de créer une offre TIC auvergnate, visible et compétitive sur les marchés et qui se développe conjointement à une demande, émanant des entreprises locales. Il y a ici un rôle à jouer pour les acteurs publics, qui doivent pouvoir initier et entretenir cet « écosystème ».

Pour se faire reconnaître internationalement, Auvergne TIC privilégie la collaboration avec d’autres clusters TIC européens : en décembre 2010, une rencontre avec le cluster TIC de Regensburg (Bavière) a eu lieu. Auvergne TIC participe également à de grands évènements du secteur, comme la conférence BPM (Business process Management) dont l’édition 2010 a eu lieu à New York du 13 au 16 Septembre [6]. En parallèle, la volonté de reconnaissance nationale passe par la collaboration avec d’autres clusters TIC nationaux.
Auvergne TIC ambitionne aussi de relever le challenge de l’emploi et de l’intégration des jeunes diplômés du secteur TIC en Auvergne. En effet, malgré une offre de formation importante et réputée de bon niveau (Ecoles d’ingénieurs, Universités, Ecole Supérieure de Commerce, DUT), de nombreux jeunes diplômés doivent quitter la région, faute de débouchés. Depuis Janvier 2011, le cluster a mis en place une convention de partenariat avec l’ Université d’Auvergne qui vise a faciliter l’aide au recrutement pour les entreprises. Auvergne TIC s’investit également dans les discussions initiées par la sphère publique. A titre d’exemple, le cluster participe activement au programme « Graines d’emplois » lancé par le Conseil Régional d’Auvergne, en vue d’aider à l’émergence de nouveaux emplois en local.

2- Description et organisation du projet

2.1 Les acteurs du projet

Aujourd’hui, l’activité de l’association repose sur le travail à temps plein de sa directrice de projets, Caroline Poinson. Les activités principales liées au poste sont :

  • valoriser l’image de la filière régionale
  • travailler à l’émergence de projets collaboratifs
  • favoriser le rapprochement entre les universités et les acteurs du terrain
    Une grande part de l’activité consiste aussi à répondre aux besoins des membres, en apportant des réponses personnalisées. Les acteurs d’Auvergne TIC sont des entreprises, des centres de formation, des laboratoires de recherche ainsi que des partenaires institutionnels.

2.2 Les services proposés

Auvergne TIC se veut avant tout un lieu de rencontres et d’échange. Le travail collaboratif est en effet facilité par la proximité physique de ses membres dont la majeure partie réside à Pascalis, parc technologique dédié aux TIC situé dans la zone de la Pardieu à Clermont-Ferrand.

Une grande part de l’activité d’Auvergne est structurée autour du travail de ses commissions.

3 commissions techniques :

  • Commission ERP
  • Commission International
  • Commission Marchés publics

3 commissions transverses :

  • Commission Formation
  • Commission Animation
  • Commission Communication

Les commissions techniques sont créées entre les membres, en fonction des besoins du moment. Par exemple, la commission ERP vise à sensibiliser les PME/PMI locales à l’intégration de PGI et à structurer un réseau de prestataires (éditeurs,intégrateurs…). Ceci rejoint les actions conjointes de la Région Auvergne et de l’association Cybermassif visant à développer un réseau d’experts indépendants, pour répondre aux besoins d’audit et de conseil des PME locales, pas toujours assez informées pour se lancer dans l’investissement sur le numérique. La Commission « Marchés publics » vise, elle, à faciliter l’accès aux appels d’offres pour les petites structures, via des candidatures « collectives ». On retrouve ici la fonction de mutualisation et de collaboration du cluster.

Au niveau des commissions transverses, la commission formation est dédiée à la mission de rapprochement du monde universitaire au monde de l’entreprise. L’un des principaux projets de l’année 2010 a été de recenser l’ensemble des formations dans le domaine TIC sur le territoire auvergnat, l’enjeu principal étant : "de détecter les problématiques et les écarts entre les formations et les besoins de recrutement" [7].
On peut enfin noter la création d’une Commission Santé, en Avril 2011, destinée à mettre en place des projets collaboratifs sur le thème de la e-santé.

2.3 Les publics bénéficiaires

Les principaux bénéficiaires de ce regroupement sont en tout premier lieu ses membres. Il y a une volonté de rencontre et d’échanges entre PME/PMI et grands groupes. Cette dynamique collective crée des synergies en permettant par exemple aux petites structures de bénéficier de transferts de compétences et de programmes de collaboration en côtoyant de grands groupes. En retour un grand groupe obtiendra une vision plus proche du terrain et ancrée dans le territoire, au travers du partenariat avec les PME. D’autres secteurs d’activités régionaux bénéficient des compétences d’Auvergne TIC. Le cluster travaille par exemple en étroite collaboration avec la filière bois, dans une optique de modernisation. Auvergne TIC collabore également avec d’autres clusters de la région, comme ViaMéca et Céréales Vallée par exemple, via des conventions.

Les entreprises implantées en Auvergne ont aussi de la visibilité sur l’offre TIC disponible. Auvergne TIC a établi un annuaire des prestataires TIC de la région, consultable depuis la page d’accueil de son site Internet [8].
Cette rencontre, sous forme d’échanges ou de partenariats entre l’offre, représentée par Auvergne TIC, et la demande crée un véritable écosystème des TIC en Auvergne, qui peut être stimulé par les partenaires publics territoriaux.

2.4 La dimension financière

L’activité d’Auvergne TIC est financée à 80% par des subventions : Europe (40%), Etat (20%) et Conseil Régional d’Auvergne (20%). Les cotisations adhérents complètent le financement de la structure.
L’association bénéficie également de la mise à disposition de compétences juridiques et administratives par la CCI du Puy de Dôme et l’ARDE Auvergne et bénéficie d’un soutien logistique (mise à disposition de locaux) de Clermont- Communauté.

3- La mise en oeuvre du projet

3.1 Les étapes de mise en oeuvre

  • Février 2008 : création d’Auvergne TIC
  • Début 2010 : recrutement d’une directrice de projets
  • Juin 2010 : labellisation "cluster d’excellence en Région"
  • Septembre 2010 : création des 3 commissions ERP, Export et Marchés publics
  • Décembre 2010 : déplacement en Allemagne, en présence de 5 entreprises auvergnates, pour rencontrer le cluster TIC de Régensburg (Bavière) et marquant le début d’une collaboration européenne.
  • Avril 2011 : création d’une Commission Santé pour émergence de projets dans la e-santé

3.2 Les méthodes

L’impulsion pour la création d’Auvergne TIC a été donnée début 2008 suite au constat d’un manque de visibilité sur l’offre des prestations TIC sur le territoire auvergnat. Les partenaires publics ont décidés d’appuyer le développement du projet qui est apparu comme pertinent et légitime, car très lié aux problématiques d’aménagement du territoire et aux enjeux de compétitivité.

3.3 Les moyens techniques

Pour Auvergne TIC, une grande partie des adhérents se localise sur un même espace géographique, le parc technologique de la Pardieu, ce qui favorise la rencontre physique et facilite les échanges. Les différents projets mis en œuvre ne nécessitent pas de technologies particulières, si ce n’est l’utilisation classique des outils numériques (Internet et visioconférence pour communiquer avec les partenaires, notamment ceux basés à l’étranger).

3.4 Les moyens humains

Le fonctionnement du cluster repose sur l’activité d’un seul salarié : la directrice de projet. Au vu de l’activité et du développement rapide du groupement, le recrutement d’une 2éme personne à temps plein serait un vrai plus.

3.5 La communication sur le projet

Le démarrage d’Auvergne TIC n’a pas été accompagné d’une stratégie de communication à proprement parler. Un site Internet avait été crée mais ce dernier n’a connu de réelles évolutions que plus récemment. La version actuelle du site date de Mai 2010. Ce site présente les activités et évènements du cluster. Dés le début, c’est le bouche à oreille qui a été le principal vecteur de communication du groupement. C’est toujours le cas aujourd’hui avec un nombre de structures adhérentes dépassant maintenant 80 : il n’y a pas de démarchage. Depuis sa création, Auvergne TIC a aussi bénéficié de retombées médiatiques grâce à la publication dans la presse régionale.

4- Bilan et perspectives

4.1 Les éléments de bilan

4.1.1 Les objectifs réalisés

Le cluster Auvergne TIC a mené à bien différents projets.
Il en va tout d’abord de l’augmentation du nombre d’adhérents : environ 80 structures sont aujourd’hui représentées au sein du groupement. La réponse positive à l’Appel à projets de la Région Auvergne a joué aussi favorablement sur le légitimité d’Auvergne TIC grâce à l’obtention du label « Cluster d’excellence en Région ».
Auvergne TIC gagne également en reconnaissance nationale. Le cluster développe une logique de collaboration stratégique avec d’autres clusters TIC. Exemples : Mêlée numérique en Midi-Pyrénées, Novae en Languedoc-Roussillon, Numélink dans la Loire.
Auvergne TIC a également produit deux études en 2010 : l’annuaire de l’ensemble des prestataires TIC de la Région Auvergne et plus récemment, le recensement exhaustif de l’ensemble des formations TIC disponibles en Auvergne (de Bac à Bac +5). Ce travail donne de la matière à l’ensemble des partenaires publics pour orienter l’action politique , savoir où se trouvent les emplois de demain, être lucide sur l’offre de formation en région et ainsi pallier les éventuelles carences, dans une logique d’attractivité et d’accueil de nouvelles populations.

4.1.2 La réponse aux attentes des usagers

En recensant l’ensemble des formations TIC de la région Auvergne et des prestataires, le groupement répond au besoin initial pour lequel il avait été créé : donner de la visibilité sur l’offre et les compétences TIC présentes sur le territoire.
Le mode de fonctionnement par commission permet aussi une réelle adaptation de l’organisation aux besoins de ses membres. Les thématiques traitées peuvent donc évoluer facilement.

4.1.3 Les points forts du projet

Auvergne TIC permet de créer une rencontre entre des petites structures (PME/PMI, indépendants) et de grands groupes. Il permet aussi et surtout un échange permanent entre le monde universitaire, le monde de la recherche et la sphère privée. Cette collaboration a des effets vertueux indéniables sur l’économie locale. On peut citer à titre d’exemple 2 projets concrets qui ont récemment été labellisés par Auvergne TIC. D’abord, un transfert de technologie [9] entre le laboratoire LASMEA [10] (Laboratoire des Sciences et Matériaux pour l’Electronique et d’Automatique) et l’entreprise Yansys (entreprise éditrice de logiciels médicaux) qui établit le calcul d’une carte de profondeur en endoscopie digestive : étalonnage et reconstruction 2,5 D. Ensuite, un projet collaboratif entre les entreprises Numtech et Agaetis et les laboratoires LIMOS [11] et LaMP [12] qui vise à développer une plateforme opérationnelle pour la gestion des risques environnementaux. Ce projet vise à fournir une information pertinente aux acteurs publics (exemple : niveau de pollution à l’échelle d’un territoire) ou privés (exemple : risque de dispersion de produits chimiques dans certaines industries) dans le cadre de la gestion de crise.

4.1.4 Les points faibles du projet

Auvergne TIC est confrontée à des difficultés d’ordre organisationnelle.
Au sein du Conseil d’administration qui valide les grandes orientations stratégiques du groupement, chaque instance est représentée (statut association). Avec l’augmentation du nombre de membres, la validation des décisions prend de plus en plus de temps. A noter également qu’Auvergne TIC fonctionne avec une personne à temps plein alors que la charge de travail actuelle nécessiterait un 2éme ETP [13].

4.2 Appréciation du porteur de projet

Auvergne TIC compte aujourd’hui environ 80 adhérents or il existe un peu plus de 600 entreprises du secteur TIC en Auvergne. Dés lors, Auvergne TIC semble avoir un fort potentiel de croissance.

5- Critères d´évaluation

5.1 Innovation

Du fait de sa labellisation en tant que Cluster d’excellence en Région, Auvergne TIC dépasse le stade du simple groupement d’entreprises. Ses missions de développement du travail collaboratif et de mutualisation des moyens et compétences pour des projets d’envergure est ainsi facilitée par son objectif de réaliser 2 projets/an. Le label permet aussi plus de sûreté sur le financement. Ceci, ajouté à la proximité des différents acteurs, favorise l’innovation.

5.2 Impact

Les activités du groupement Auvergne TIC ont un impact sur ses membres. Par la complémentarité et la collaboration, les adhérents au cluster bénéficient de transferts d’expérience et de connaissances significatifs : il se crée un effet d’apprentissage entre les différents membres. Le regroupement permet aussi de rendre le secteur TIC plus visible aux yeux des entreprises régionales, tout secteur confondu. Au-delà, le cluster permet de faire émerger des projets innovants et de répondre à des appels à projets nationaux.

5.3 Reproductibilité

Ce projet est reproductible sur tout territoire possédant un vivier de prestataires TIC, des établissements d’enseignement supérieurs proposant des formations dans ce secteur et des partenaires publics impliqués dans le développement du numérique. Il n’y a pas nécessairement besoin d’avoir de grands groupes, la plupart des pôles sont principalement composés de PME. A l’échelle nationale, 85% des entreprises participant aux pôles de compétitivité lancés en 2005 par le gouvernement sont des PME [14] .

5.4 Pérennité

Selon une étude récente réalisée par le cabinet McKinsey [15] , Internet et ses activités connexes devraient contribuer à près du quart de la croissance française qui sera générée au cours des trois prochaines années. Avec les appels à projet lancés dans le cadre des Investissements d’avenir [16] (Grand Emprunt), Auvergne TIC a une réelle opportunité de développement. Le cluster a en effet plusieurs objectifs de projets, dans des secteurs à fort potentiel. Ces projets seront l’exemple même d’une coopération directe entre centres de recherches universitaires et entreprises, avec une impulsion et un accompagnement des partenaires publics. Ces derniers ont un vrai rôle à jouer sur l’environnement, en créant un écosystème TIC favorable à la collaboration et à l’échange. Dans ce cadre, Auvergne TIC pourra renforcer son rôle clé dans le développement de l’innovation, créatrice des emplois de demain sur le territoire Auvergnat.


[1] Délégation interministérielle à l’aménagement et à la compétitivité des territoires. S’appelle maintenant la DATAR (Délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale).

[2] Compétitivité numérique des territoires, cahier n°7, Septembre 2007. La documentation Française

[3] Propos de René Souchon, Président du Conseil Régional d’Auvergne

[4] Agence régionale de développement économique

[5] Source : « Terrirtoires d’Auvergne en Actions » n°6, lettre d’informations du Conseil Régional d’Auvergne

[6] Site Internet : http://www.bpm2010.org/

[7] Citation de Caroline Poinson, directrice de projets d’Auvergne TIC

[8] Lien : http://www.auvergnetic.com/

[9] Ensemble de compétences et de résultats techniques développés et tenus à jour au sein de laboratoires, qui sont ensuite cédés ou concédés à des tiers (généralement des entreprises privées) à travers des brevets, licences d’exploitation. (Source : http://www.oseo.fr/votre_projet/inn…)

[10] Descriptif : http://wwwlasmea.univ-bpclermont.fr…

[11] Laboratoire d’informatique, de modélisation et d’optimisation des systèmes, unité mixte de recherche du CNRS rattachée aux 2 universités clermontoises (Université d’Auvergne et Université Blaise Pascal).

[12] Laboratoire de Météorologie Physique, composante de l’Observatoire de Physique de Clermont-Ferrand (OPGC)

[13] ETP : Equivalent Temps plein

[14] http://competitivite.gouv.fr/docume…

[15] « Impact d’Internet sur l’économie française ». Lien : http://www.economie.gouv.fr/service…

[16] http://www.gouvernement.fr/gouverne…

Via un article de Philippe OURLIAC, publié le 7 septembre 2011

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