Ci dessous un sommaire des transparents placés en document joint
La FING et le haut débit
- Le haut débit n’existe pas seul
- Mobilité, identité, XML, IPV6,...
- Education, administration, santé, commerce,...
- Mais c’est un sujet spécifique
- Pour les acteurs en première ligne (innovateurs, industriels, opérateurs, prestataires, collectivités...)
- Pour le développement du réseau et de ses usages
- Un décalage de perceptions entre acteurs
- La Fing= passerelle et non expert
- Wi-fi, mais aussi ethernet local, fibre, satellite, ...
Libérez le premier kilomètre
- Le paradoxe des réseaux aujourd’hui
- Très haut débit sur les dorsales, la longue distance
- Goulet d’étranglement sur les réseaux intermédiaires
- Haut débit sur la boucle locale (s’il y en a)
- Tout se passe comme si l’usager était le dernier inconvénient, le plus éloigné
- Son tort : habiter trop loin du central téléphonique
- Son rêve, accéder aux merveilles de l’internet lointain
- L’intérêt du réseau, ce n’est pas seulement le surf en RTC : l’internet a changé
- La bande passante limite l’usage
- Les réseaux IP sont des infrastructures génériques
Du dernier kilomètre
au premier kilomètre
- Passer enfin du modèle télécom au modèle IP
- De la marguerite aux nénuphars
- Densifier les services et les usages
- Le « modèle » suédois : infrastructures locales fortes
- Ecoles, administrations, commerces : nos premiers interlocuteurs sont locaux
- On téléphone davantage à ses voisins qu’au bout du monde
- Parier sur les dynamiques collectives
- Société en réseaux plutôt que société de (la diffusion de) l’information
- Du village global au village local
L’usager au centre,
la collectivité en première ligne
- Relativiser la vision « distribution »
- Parce que c ’est conforme au réel
- La production de contenus vient d’abord de l’usager : la plupart des abonnés HD envoient plus qu ’ils ne reçoivent (photos, 3,5M de pages perso, éducation)
- Parce que les infrastructures asymétriques brident l’usage
- Parce que les usages les plus génériques nécessitent du haut débit local
(téléphonie...)
Cf. « Internet infrastructure d’échanges », à paraître
Des modèles d’usage à créer
- Que font les utilisateurs « haut débit » résidentiels aujourd’hui ?
- Beaucoup plus de temps en ligne
- Beaucoup plus de jeux, de messagerie instantanée, de téléchargement
- PAS beaucoup plus de vidéo et applications nécessitant des vraiment hauts débits
- Des contenus/usages à peine explorés
- Interactivité dans la vidéo
- Bases de données et moteurs multimédias
- Jeux immersifs et autres usages de la téléimmersion
- Communication, collaboration « immersives »...
Créer les réseaux,
créer les dynamiques
- L’intérêt des solutions légères : sortir de la dialectique poule-œuf, usage-infra
- Créer les moyens de réseau locaux (ultralocaux) c’est permettre l’appropriation
- Par les acteurs, au sein de la commune, du pays,...
- Infrastructures-infostructures
- Les contenus, les services et les échanges sur la boucle locale
- Une forte demande de solutions légères
- Un choix croissant de technologies alternatives
- Satellite, CPL, RLR,...
Un chemin à faire...
- Pas seulement « la collectivité comme opérateur »
- Evolution de la notion d’ « opérateur »
- Du défensif à l ’offensif
- Quitter la logique de distribution
- Besoin d ’une maturation colllective
- Sur l ’architecture des réseaux, et la continuité (yc mobile)
- Sur les services et les contenus, pas seulement diffusés
- Sur la différenciation entre l’offre (d’infrastructures, de transport, de services publics, privés, collectifs) et les usages et pratiques
Ethernet local :
les premiers décamètres
- Mon réseau local est à haut débit
- Ethernet 100baseT=100 Mbps, sur tous les PC
- Il peut porter de l’internet, du téléphone, de la TV
- Sans « opérateur »...
- Du LAN au SAN et au raccordement à la boucle locale
- L’habitat collectif et les premiers décamètres
- « 10 ou 100 mbps ce n’est pas plus cher que 128k »
- Des offres commerciales émergentes
- Plus du tiers des foyers haut débit suédois
- Du Fast Ethernet au Giga au 10Giga Ethernet
- Des usages sans aucune comparaison
Quelques scénarios
de l’hyperlocal
- Lieux, contextes, échelles, « hubs naturels »
- Ecole, campus universitaire,
- train, bureau, village, rue, bloc d’immeubles
- Zone d’activité
- Lieux de rassemblement (associatif, politique,...)
- EPN ? (cf Inforoots Marseille)
- Technologies
- Ethernet, fibre, wifi, cpl ? , (fixe/sans fil) (« sans opérateur »)
- Contenus
- Ecrit public, vidéo, blogs,
- Applications
- Démocratie, concertation ; Commerce, racolage ; Information ;Jeux ; Echanges professionnels ; Coopération ;services à la personne et maintien à domicile ;soutien scolaire ;
- Formes
- Régie numérique ? (quelle maîtrise et « gouvernance » de ces réseaux locaux par les utilisateurs / la collectivité ?)
- Risques ? d’expérimentations apprenti-sorcier
- Comment expliquer ?
- Montrer...
- Sortir de l’étanchéité des cultures, des politiques et des chantiers
- Limites de la vision territoriale
- Il y a des strates, des tribus, des familles d’usages
- Certains sujets/services/applications sont a-territoriaux, en réseaux
- Il y a une contrainte territoriale, il est aussi intéressant de s’en libérer
- Question de granularité des réseaux
- Quelques enjeux...
- « continuité » vs. Segmentation
- Réinvention des équipements type EPN
Quels processus ?
- Processus d’innovation
- Dans le champ social, avec des stimuli technologiques
- Processus structurants
- Extranets territoriaux, attribution de login-pw-adresse e-mail, certificats numériques,..
- Offre de services
- Processus d’accompagnement, d’intermédiation
- Vers l’appropriation
- Quelle persistance-aggravation des décalages ?