L’opendata dans tous ses états – Veille Oct. II

« L’open data dans tous ses étatst », Une

revue d’information sur les

données ouvertes au 26 octobre 2010

réalisée par Libertic et reprise du site de Libertic

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Cette semaine une information a commencé à circuler sur le net : Météo-France libérait ses données ! Je me rendis donc, enthousiaste, sur https://public.meteofrance.com/ . Déjà refroidie par l’encart Données et tarifs, je décide de passer outre et après quelques minutes de navigation et de téléchargements de PDF, je découvre effectivement le lien -Observation France en format CSV- esseulé en bas de la page https://public.meteofrance.com/france/observations.

L’IGN également annonce que leur RGE sera bientôt gratuit et accessible à toutes les collectivités. Deux initiatives (sic) qui découlent de la directive Inspire.

Côté breton, un relent d’information avec un article de David Mentré qui interpelle Kéolis et Rennes Métropole sur leur licence d’utilisation des données : Pourquoi l’ouverture des données de Rennes Métropole est insuffisante ? Une question qui aura grillé pas mal de pixels chez les internautes.

Pour faire la transition avec l’étranger, un petit post sur la thématique des plus gros challenges rencontrés lors de l’ouverture de données locales. Car de fait, cette semaine les informations ont franchi l’Atlantique. Pas moins d’une quinzaine d’articles sur l’opendata au Canada avec l’annonce des libéraux, We’ll open government (data) to canadians… if we are elected, ce (évidemment) en pleine période électorale à Toronto. Ce qui nous donne des articles notamment du Vancouver Sun, et des liberals.

Mais l’information canadienne ne s’arrête pas là. Alors que l’opendata arrive à Ottawa, la ville lance son concours d’applications . A ce sujet, est-ce que quelqu’un peut m’expliquer pourquoi le prix d’un concours d’applis est toujours de 50 000 ? Que ce soit en dollar canadien, en dollar américain ou en euro d’ailleurs… Une réponse du coté de Rennes ?

Pour finir avec le Canada, Waterloo s’empare également de la thématique tandis que des citoyens créent une nouvelle plateforme de données : OpendataBC.

Sur le revers de la Manche, le gouvernement anglais annonce la création de son OGL, Open Government Licence qui servira de licence ouverte et permanente sur les informations publiques. Une explication sur @brest.


Ce qui nous mène au tweet de conclusion :

@alorza : I’d really like to tell , but simply there are no horror stories after #opendata release

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Via un article de libertic, publié le 26 octobre 2010

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