Contenus ouverts et formation : Lancement de ccLearn une division de Creative commons dédiés aux contenus de formation

Nous avions annoncé cette information en brève la semaine passée :

Une nouvelle division de Cretaive Commons a été lancée pour accompagner la mise en ligne de contenus ouverts dans l’enseignement.

Sa première mission est de convaincre les enseignants d’utiliser les contrats proposés par Creative Commons pour permettre le partage et la réutilisation des ressources éducatives ouvertes (Open Educa
tive Ressources : OER)

Le magazine en ligne Ecrans de Libération publie une interview par par Astrid Girardeau d’Ahrash Bissell, directrice de l’exécutif de Creative Commons Learn.

Quelques extraits :

Pourquoi avoir créé un Creative Commons spécifique à l’éducation ?

La science et l’éducation sont deux communautés déjà basées (au moins en théorie) sur l’ouverture de l’information, le partage et la collaboration. L’accès à des ressources éducatives de qualité est considéré par beaucoup comme un droit inaliénable. Et c’est au centre de nos missions d’aider les communautés libres, en leur fournissant du matériel pour les aider à développer une création libre et réutilisable. Une division Science Commons a été établie il y a deux ans pour pousser la communauté scientifique dans cette voie. Aujourd’hui, ccLearn a le même rôle, cette fois pour la communauté éducative.

Et pourquoi maintenant ? Est-ce en réaction à une situation particulière ?

De nombreux rapports montrent que le mouvement pour l’Education Libre a atteint un tournant, et doit passer de la création de contenus à l’utilisation de ces contenus. Des ressources sont créées et archivées à une vitesse phénoménale, mais leur taux d’utilisation reste faible. Il fallait donc une organisation qui travaille au nom de toute la communauté pour augmenter leur visibilité et leur taux d’utilisation.

ccLearn endosse ce rôle de consultant et de guide, en espérant que lcommunauté internationale en approuvera les principes directeurs et les standards. Car aujourd’hui la diversité légale et technique des contenus est problématique. De nombreuses ressources traitant des mêmes sujets ne peuvent pas être recoupés, et les problèmes vont aller en s’amplifiant si on ne développe pas rapidement des standards de base.

Lire la suite de l’interview
sur le magazine Ecrans

Voir en ligne :

Posté le 14 août 2007 par Michel Briand

licence de l’article : Contacter l’auteur