Paris 15, 16 octobre "TRIP 2007 " Territoires et Réseaux d’Initiatives Publiques

Institut Pasteur (Paris)

Le programme


Repris du site de l’Avicca

Lundi 15 octobre

  • 14h00 - 14h30 Ouverture
    Observatoire des Réseaux Ouverts d’Initiative Publique

Trois après les débats acharnés qui ont entouré le vote de la loi permettant aux collectivités
d’établir et d’exploiter des réseaux, les réalisations sont nombreuses et diverses.
Le point sur le secteur, du côté des collectivités impliquées, des opérateurs d’opérateurs, des
usagers.

  • 14h30 - 16h00 Table Ronde 1 : Une nouvelle génération de réseaux ouverts d’initiative publique ?
    Les projets d’aujourd’hui tiennent compte des évolutions du secteur et des premiers retours
    d’expérience des opérateurs d’opérateurs. Le très haut débit émerge et la Commission
    européenne comme à dégager une philosophie sur l’intervention des collectivités ; les zones
    blanches sont mieux identifiées, France Télécom propose de louer des Fibres dans une partie
    des NRA, les opérateurs locaux et nationaux utilisent mieux le potentiel des ROIP …
  • 16h30 - 17h00 Focus :
    Des zones blanches au très haut débit :

le maillon indispensable de la collecte
Présentation de l’étude Tactis/Avicca sur les zones blanches

  • 17h00 - 18h30 Table Ronde 2
    WIMAX, WiFi, NRA Zones d’ombres : complémentarités et choix -*structurants

Pour le traitement des zones blanches, le WiMAX n’en est qu’à ses débuts industriels,
laissant un créneau au WiFi ; ces technologies hertziennes sont portées non seulement par
des équipementiers mais par des opérateurs, alors que les CPL outdoor marquent le pas. Le
réseau de l’opérateur historique peut encore évoluer pour étendre l’adsl. Il faut jouer de la
complémentarité des technologies, les mettre en perspective dans leurs potentiels
d’évolution, sans émietter un marché des zones blanches déjà difficile.

Mardi 16 octobre

  • 9h00 - 10h30 Table Ronde 3
    La bataille de la fibre optique :
    guerre de mouvement ou de tranchées ?

La maturité du marché du haut débit permet de financer la construction de réseaux pleinement
capables de proposer de nouveaux services, du moins dans les zones très denses. La
couses, qui y est engagée, va-t-elle s’étendre, ou buter rapidement sur les coûts du génie
civil ?

  • La mutualisation est-elle indispensable ?
  • accompagnement public ?
  • Dans les zones fibrées, une nouvelle bataille sur les prix de l’adsl
    va-t-elle se déclencher ?
  • Le marché va-t-il se structurer autour du très haut débit fixe ou de la
    convergence fixe-mobile ?

11h00 - 12h45 Table Ronde 4
Le très haut débit partout en 20 ans ?

Le passage du bas au haut débit pour 98% de la population n’a pas prix dix ans, mais il
s’agissait d’adapter des réseaux existants, et non d’en construire. -* Généraliser le très haut
débit en 20 ans est-ce ambitieux ou laxiste ?

  • Quels rôles respectifs pour les villes,
    départements, régions, et pour l’Etat dans cette mutation ?
  • Des « capitaux patients » sont-ils
    mobilisables ?
  • Quelle que soit la technologie employées, ne faudra-t-il pas des financements
    nationaux pour les territoires les moins denses, à capacité fiscale réduite ?
  • Faut-il un fonds
    spécialisé, qui l’alimente ?
  • 14h30 - 16h00 Table Ronde 5
    Services collectifs, aménagements urbains :
    que faire pour anticiper le FTTx

Dès aujourd’hui, les opérateurs concentrent leurs premiers investissements là où
l’environnement est favorable. Opérations d’aménagements neuves ou interventions sur
l’existant, même si des inconnues demeurent et si les « labels » tardent, des lignes d’action se
dessinent, soit en direct, soit en conditionnant des aides au respect de certains principes. La
distribution de services collectifs dans les immeubles sociaux pourrait également être un levier.

  • 16h30 - 18h00 Table Ronde 6
    TNT et dividende numérique :
    couverture du territoire, services locaux

La couverture hertzienne numérique pour la télévision va s’étendre ; le CSA s’est fixé des
objectifs minimaux de 91% de la population par département.

  • Comment, quand, les collectivités
    doivent-elles accompagner ce mouvement ?
  • Quelle est la place pour les télévisions locales
    dans ce schéma, en fixe et en mobile ?
  • Les fréquences libérées par l’extinction de l’analogique
    serviront-elles au haut ou très haut débit ?
  • Pourra-t-on imposer des engagements de couverture
    conséquents pour les nouvelles fréquences à attribuer ?

Pour plus d’informations contactez : colloque@avicca.org

Posté le 7 août 2007

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