Antennes relais : comprendre les mesures de champ , un guide de l’agence des fréquences

Un an après la parution du Panorama 2004 du rayonnement radioélectrique en France, l’Agence
nationale des fréquences édite une nouvelle plaquette d’information : Mesure de l’exposition aux
ondes radioélectriques.

Article repris du communiqué de l’agence des fréquences

Un nombre croissant de particuliers demandent à ce que des mesures
de champ soient réalisées à proximité d’antennes relais : 2 115 mesures ont été effectuées en
2004 et 1 928 depuis janvier 2005.

Or les fiches reportant les résultats de mesure sont des
documents techniques difficilement abordables pour un large public. Une “ explication de texte ”
permet de les rendre plus accessibles : c’est précisément l’objet de la plaquette Mesure de
l’exposition aux ondes radioélectriques
.

L’Agence nationale des fréquences rappelle que le processus de mesure est rigoureusement
encadré, en particulier :

  • Ne sont habilités à faire des mesures que des laboratoires accrédités COFRAC,
    accréditation qui représente un haut niveau d’exigence en matière de formation des
    techniciens et de précision des appareils de mesure. Quinze laboratoires sont accrédités
    à ce jour.
  • La mesure se déroule suivant un cadre méthodologique strict. L’Agence nationale des
    fréquences a élaboré un protocole de mesure intégré à la réglementation depuis 2004 et
    régulièrement actualisé pour tenir compte des évolutions technologiques (UMTS, TNT et
    WiFi) et de l’expérience acquise.
  • Tous les résultats de mesure sont publics. Les laboratoires communiquent leurs rapports
    à l’ANFR qui les met en ligne sur www.cartoradio.fr et qui les analyse périodiquement de
    manière à dégager les niveaux moyens d’exposition du public aux rayonnements
    radioélectriques.

Outre les actions déjà mentionnées, rappelons que l’ANFR, établissement public administratif,
intervient à plusieurs titres dans le domaine des mesures de champ radioélectriques liées à des
préoccupations de santé publique.

  • Elle instruit les dossiers de demande d’implantation d’antennes et vérifie le respect de la
    réglementation en la matière.
  • Elle est partie prenante dans l’élaboration de la réglementation sur le contrôle des
    niveaux de champ.
  • Elle apporte son soutien aux instances de concertation organisées par les préfectures.
  • Elle intervient dans des groupes de travail sur la modélisation des champs générés par
    les émetteurs radioélectriques.
Posté le 30 novembre 2005

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Nouveau commentaire
  • Novembre 2007
    15:15

    Antennes relais : comprendre les mesures de champ , un guide de l’agence des fréquences

    par Riverains de l’Elorn

    NOTRE url CHANGE MAIS NOTRE ACTION CONTINUE !
    Nous sommes riverains d’une antenne relais de téléphonie mobile. Aujourd’hui, nous oeuvrons pour la faire déplacer en raisons des craintes qu’elle nous inspire au regard de nombreuses raisons que nous évoquons sur notre Blog.
    Si vous-même, votre famille, vos proches, vos voisins… êtes dans notre cas, profitez de notre histoire pour gagner du temps dans vos démarches.

    Et les téléphones portables alors !?... Il semble y avoir un consensus aujourd’hui sur la dangerosité de leur utilisation dans certaines conditions ! Nous en parlons aussi dans notre blog.

    Nous espérons que notre blog vous aidera à trouver des réponses en quelques « clics » seulement !

    A bientôt donc sur notre blog.

    Les Riverains de l’Elorn. (LADERNEAU, 29)

    Notre Blog :
    http://riverainsdelelorn.vox.com/

    Notre adresse mail :
    riverains.elorn@voila.fr

    Voir en ligne : {{ANTENNES RELAIS DE TELEPHONIE MOBILE - TELEPHONES PORTABLES : QUELS RISQUES POUR NOTRE SANTE ?}}

  • Juillet 2007
    17:22

    Antennes relais - et notre SANTE

    par riverains

    Nous vous proposons de consulter notre blog si une antenne relais a été implantée près de chez vous et que vous vous interrogez !

    http://www.u-blog.net/riverainselorn

    Bonne lecture et à bientôt !

    Bien cordialement
    Association des Riverains de l’Elorn.

    Voir en ligne : Antennes relais ...et notre SANTE

  • Avril 2007
    18:48

    directive Européenne 2004/40/CE

    par Marc Vesin

    Bonjour,

    Quelqu’un s’est-il penché sur la directive
    Européenne 2004/40/CE relative à la protection des travailleurs ?

    Les seuils d’exposition sont encore plus haut que ceux de 1999/519/CE. Par contre, elle introduit des obligations qualitatives pour l’employeur : déterminer l’exposition, évaluer et réduire les risques ; informer, former, consulter et faire participer les travailleurs ; surveiller la santé.

    Telles que je les comprends, ces obligations s’appliquent même aux entreprises dans lesquels les salariés sont exposés à un faible niveau d’onde
    radioélectriques.
    Donc elles constitueront à leur entrée
    en vigueur un cadre plus contraignant.

    Quelqu’un un peu plus apte à lire une directive Européenne peut-il m’éclairer ? Merci !

  • Mars 2007
    14:48

    Antennes relais : comprendre les mesures de champ , un guide de l’agence des fréquences

    par OED

    Les mesures ne servent absolument à rien, puisque des personnes dites électrosensibles sont malades à partir de 0,1 volt/m et bien moins encore.
    Il n’y a qu’une chose à faire, c’est d’informer la population pour qu’elle prenne conscience du danger. C’est ce qui est proposé sur ce blog d’une façon très simple :
    http://associationnationaleapursetap.centerblog.net

  • Février 2007
    21:16

    l’affaire Xavier Bertrand

    mensonges et dissimulation concernant les effets risques et moyen de protection avec les antennes relais : l’affaire Xavier Bertrand

    Voir en ligne : L’affaire Xavier Bertrand

  • Juin 2006
    10:30

    l’ANFR a découvert la compatibilté electromagnétique

    par Pluloin Lanten

    le 16 mai 2006 après avoir lu des forums l’ANFR a "informé" sur la compatibilité électomagnétique et a rajouté du texte a ses faq :

    "J’ai lu dans un forum que les valeurs limites de champ électromagnétique étaient de 3 V/m et qu’elles avaient été fixées par une directive européenne. Or je vois que vous mentionnez des valeurs de champs électromagnétiques bien plus importantes (28 V/m, 41 V/m...) en vous référant également à un texte européen. N’est-ce pas contradictoire ? Ce sont là deux textes qui n’ont absolument pas le même objet. Dans le premier cas, il est fait allusion à la directive 89/336/CEE (remplacée par la directive 2004/108/CE) ; dans le second, la référence est la recommandation 1999/519/CE.

    La directive pose deux principes de compatibilité électromagnétique :

    Un équipement radioélectrique ne doit pas produire des perturbations à un niveau tel que cela empêcherait le fonctionnement normal des équipements, en particulier radios, autour de lui.

    Réciproquement, un appareil doit pouvoir fonctionner normalement en présence du niveau de champ électromagnétique qu’il peut rencontrer dans son environnement.

    Ainsi les normes de CEM applicables aux appareils standards (CEI-6100-4-3) fixent 3 V/m comme le niveau minimal de champ électromagnétique que doit pouvoir supporter un équipement sans que son fonctionnement ne soit perturbé.

    Pour d’autres appareils assurant des fonctions de sécurité ou susceptibles de fonctionner dans d’autres environnements, ce niveau peut être notablement plus élevé. Il n’a jamais été dans l’intention des pouvoirs publics de garantir que ce niveau de 3 V/m ne serait jamais dépassé dans l’environnement.

    Dans l’esprit de la directive, les équipements doivent être adaptés à leur environnement et non l’inverse."

    Que veut dire ce texte ???? comment peut on écrire des absconneries pareilles ?

    Si selon l’anfr, appliquer 61V/m ne pose pas de problème en matière de compatibilité électromagnétique avec les appareils d’immunité 3V/m, il faut l’écrire clairement et nous expliquer comment appliquer 20 fois le niveau soit 400 fois la puissance auxquels les appareils on été testé respecte les règles pour prévenir le risque de dysfonctionnement et non essayer de noyer le poisson avec des explications abracadabrantesques !

    Nous sommes bien d’accord il s’agit de deux directives différentes instituant des réglementations pour prévenir des risques de natures différentes liés a l’exposition aux ondes électromagnétiques. Le directive 1999/519/CE fixe des limites a ne pas dépasser pour prévenir le risque thermique.

    Les directives 89/336/CEE (remplacée par la directive 2004/108/CE) antérieures à la précédente ont pour but de prévenir le risque de dysfonctionnement des appareils électroniques et/ou de perturbation des systèmes de communications.

    La directive sur les limites thermique n’a jamais abrogé celles sur la compatibilité électromagnétique, les deux doivent êtres prise en compte pour respecter les lois.

    La matérialisation du risque peut dans les deux cas entraîner des conséquences pour la santé dans un cas de manière directe dans l’autre de façon indirecte par les dysfonctionnement des appareils a usage médical utilisés a domicile.

    Pour ce qui est de la compatibilité électromagnétique, on a défini des environnements pour lesquels on a fixé un niveau maximal de rayonnement et un niveau d’immunité des appareils. Le niveau global de pollution du milieu devant se situer entre les deux s’il y a des sources de pollution.

    Ce qu’oublie de mentionner l’anfr c’est que pour qu’il y ait compatibilité électromagnétique et ne pas violer les règles pour prévenir le risque de dysfonctionnement il est impératif que le niveau des perturbations du milieux soit inférieur au niveau d’immunité. Prétendre autre chose est une violation caractérisée des règles applicables.

    Je mets au défi quiconque et en particulier l’anfr

    1°) de trouver un cours ou un texte sur la compatibilité électromagnétique qui prétend que le niveau de perturbation peut être supérieur au niveau d’immunité sans en violer les règles. Dans tous les graphiques que vous trouverez le niveau d’immunité est supérieur au niveau des perturbations du milieu.

    Exemple lisible par tous page 6 de ce document

    il y a d’autres cours disponible sur internet, aucun n’accrédite la thèse fantaisiste qui voudrait que les perturbations puissent dépasser le niveau d’immunité des appareils sans les exposer a un risque de dysfonctionnement inacceptable.

    2°) de trouver un appareil destiné a être utilisé a domicile ayant une immunité de 61V/m cela n’existe pas !!!! même les appareils les plus critiques destinés a un usage a domicile n’ont pas ce niveau d’immunité !!!!

    3°) de trouver en environnement normal utilisé en compatibilité électromagnétique dont le niveau d’immunité est supérieur a 60V/m et ou des êtres humain sont censés vivre ! Le pire connu est de 10V/m pour l’environnement industriel.

    L’environnement qui nous intéresse est l’environnement résidentiel (immunité de la plupart des appareils 3V/m)

    exemples d’appareils a usage médical utilisés a domicile :

    thermomètre électronique, lecteur de taux de glycemie : immunité 3V/m. Pompe a insuline et appareils implantes immunité 10V/m Stimulateur cardiaque immunité 20V/m Suivant la criticité des dysfonctionnements, les appareils ont des nivaux d’immunité différents mais les dysfonctionnement des appareils ayant une immunité de 3V/m qui sont l’écrasante majorité peuvent aussi avoir de graves conséquence pour la santé .

    Des automatismes de toute sorte peuvent aussi être utilisés a domicile dont les dysfonctionnements peuvent avoir de graves conséquences en dehors de la santé. Exemple : arrosage automatique.

    Dans le texte ci dessus on peut lire : « Dans l’esprit de la directive, les équipements doivent être adaptés à leur environnement et non l’inverse. »
    c’est bien de cela qu’il s’agit, encore faut il préciser quel est l’ environnement normal auquel ils sont adaptés, du fait que les appareils ont été qualifiés pour être utilisé a domicile en fixant une immunité de 3V/m, l’application des règles de la compatibilité électromagnétique conduit à ce que le niveau de pollution de cet environnement soit obligatoirement inférieur à 3V/m afin de conserver une marge d’immunité.
    L’anfr suggère-t-elle que les appareils existant vont s’autoadapter à un environnement qui a été détruit en se modifiants eux mêmes avec leurs petites mains ?

    En limitant le niveau de pollution on ne demande pas d’adapter l’environnement mais que certains cessent détruire au delà des valeurs qui le caractérisent comme étant normal.

    En polluant au delà des limites d’immunité on modifie l’environnement et on passe d’un environnement résidentiel à un environnement industriel quand le niveau est supérieur à 3V/m et inférieur à 10V/m et à une poubelle électromagnétique quand certains prétendent aller jusqu’à 60V/m.

    CQFD dépasser le niveau de 3V/m constitue une destruction de l’environnement normal prévu pour l’utilisation de l’appareil et met en danger délibérément la vie d’autrui par le violation des règles chargées de prévenir un risque mentionné par la loi, de plus c’est une violation de l’article 1 de la charte de l’environnement.

    Lisons ce qu’écrit d’autre dans ce domaine l’anfr :

    1°)dans le document il est précisé : « Dans les zones où le public est susceptible de séjourner (appartements par exemple), le niveau reste inférieur à 3 V/m ».

    Ecrire cela, est une reconnaissance implicite du fait que 3V/m ne doit pas être dépassé, sinon pourquoi mentionner justement cette valeur en précisant qu’elle n’est pas dépassée, aurait elle été prise au hasard ?

    Cette affirmation de non dépassement de 3V/m est un mensonge démenti formellement par les statistiques publiées par la Ville de Paris. Comme chacun sait les mesures faites à Paris font une pseudo moyenne en multipliant la valeur maximale mesurée avec le protocole de l’anfr par un coeficient de 0,432, les valeurs mesurée supérieures a 2V/m a Paris dépassent 4,62V/m et 6,5V/m pour les fréquences a 1800Mhz.

    2°) dès qu’il s’agit de perturbation des émetteurs entre eux l’Anfr est beaucoup plus rigoureuse, lire ce document

    « 7.2 Règles de coexistence entre différents systèmes Afin d’assurer une bonne coexistence entre différents systèmes sur un même site, il est nécessaire d’assurer : !"Un découplage suffisant entre les aériens des différents systèmes. !"Le respect scrupuleux des normes d’immunité et de rayonnements non désirés. Afin de limiter les problèmes de coexistence sur site aux situations les plus critiques (bandes immédiatement adjacentes, produits d’intermodulation), il est recommandé aux cohabitants de respecter les deux règles suivantes : Les découplages entre les émissions et les réceptions des différents systèmes sur un même site doivent être supérieur à un minimum de 60 dB, et avoir pour objectif d’obtenir plus de 70 dB. Dans certaines configurations, il peut être nécessaire d’exiger 90 dB de découplage, par exemple afin que le niveau de champ fort sur des récepteurs tiers ne dépasse pas -20 dBm ou 10 V/m. Tous les équipements présents sur le site doivent respecter les normes de référence applicables.

    Concernant l’effet direct des rayonnements sur les équipements (couplage direct sans antenne), la Directive 89/336/CEE relative à la compatibilité électromagnétique dispose à son article 4 que les appareils doivent avoir un niveau adéquat d’immunité intrinsèque contre les perturbations électromagnétiques, leur permettant de fonctionner conformément à leur destination, cette disposition étant applicable dans un environnement « normal ». Ces exigences de protection sont présumées satisfaites si les appareils sont conformes aux normes européennes harmonisées en la matière. Généralement, et pour les fréquences comprises entre 30 et 1000 MHz, cette valeur est fixée à 3 V/m pour les équipements susceptibles de fonctionner en zone résidentielle et de 10 V/m pour ceux susceptibles de fonctionner en zone industrielle. CCE 3 10 septembre 2001 »
    vous constaterez que dans ce document l’anfr précise qu’il faut limiter le niveau de pollution à une valeur inférieure au niveau d’immunité de ces appareils afin de respecter scrupuleusement la compatibilité electromagnétique !!!!

    Le respect des règles est un impératif pour les appareils de communications présents sur le site mais doivent être violées sans vergogne pour la appareils utilisés par les habitants, il n’ont qu’a en subir les conséquences et en particulier en matière de santé.

    Au niveau de l’anfr les compétences sont là, qui donne les instructions pour diffuser des informations aberrantes et mensongères en direction du public, en contradiction avec les pratiques même de l’anfr, ayant pour but d’organiser la désinformation sur les risques et incitant a mettre en danger la vie d’autrui ?

  • Avril 2006
    17:38

    les operateurs et l’information

    un bon reportage ou vous entrendrez les opérateurs prendre les elus et la population pour des abrutis.

    http://next-up.org/forum/viewtopic.php?t=58

  • Avril 2006
    11:12

    les experts sombrent dans le ridicule.

    par Pluloin Lanten

    du nouveau au sujet de la compatibilité électromagnétique.

    http://www.renault.com/renault_com/fr/images/11379%2011379_CP_CEM_FR_tcm1119-359599.pdf

    La pollution électromagnétique un réel problème pour la sécurité des systèmes électroniques .

    La multiplication des systèmes électroniques et système de communications par radio implique un nouvel effort des industriel dans la prise en compte des risques de dysfonctionnement d’appareils électroniques. Probablement suite au problèmes avec l’affaire des régulateurs d’allure Renault accélèrent ses investissement dans l’évaluation des risques liés à la compatibilité électromagnétique et au durcissement de leurs produits. Il semble bien que c’est la première fois que l’on va évaluer l’immunité aux champs électromagnétique rayonnées d’un véhicule entier.

    Renault va tester ses véhicules jusqu’à un champ électromagnétique de 100V/m pour la bande de fréquence de 100Khz jusqu’à 3Ghz ce qui va beaucoup plus loin que les règles imposées aux industriels pour prévenir le risque.

    Pendant ce temps les organismes en charge de la téléphonie mobile afsset, arcep, anfr, fondation santé radiofréquences, n’ont pas de problème de déontologie et continuent de dissimuler ce risque en utilisant la méthode coué quand ils évoquent le seul risque thermique se citant les uns les autres et utilisant les mêmes experts défaillants.

    Ces organismes prétendent en toute impunité, en violation des règles applicables qu’il est normal et sans risque d’appliquer les niveaux de 41V/m a 61V/m a des habitations ou sont utilisés des appareils électroniques a usage médical dont l’immunité est de 3V/m en violation de la réglementation pour prévenir le risque de dysfonctionnement pouvant tuer dans le cas des appareils a usage médical.

    Quelle honte pour nos super experts en évaluation des risques d’être démentis par la pratique d’un industriel qui va aller beaucoup plus loin que les règles en vigueur dans ce domaine alors que ceux ci ne font qu’inciter a les violer dans leurs rapports et écrits.

    Seraient il capable de trouver du sable au Sahara ou de l’eau a la mer ?

  • Avril 2006
    13:25

    Une doc de l’anfr mettant en lumieres ses pratiques

    par pluloin lanten

    Sur le lien suivant vous trouverez un document interessant.

    http://www.anfr.fr/doc/docenligne/CCE2.pdf

    L’anfr se préoccupe au plus haut point de la compatibilité électromagnétique entres émetteurs.

    « 7.2 Règles de coexistence entre différents systèmes
    Afin d’assurer une bonne coexistence entre différents systèmes sur un même site, il est nécessaire
    d’assurer :
     !"Un découplage suffisant entre les aériens des différents systèmes.
     !"Le respect scrupuleux des normes d’immunité et de rayonnements non désirés.
    Afin de limiter les problèmes de coexistence sur site aux situations les plus critiques (bandes
    immédiatement adjacentes, produits d’intermodulation), il est recommandé aux cohabitants de
    respecter les deux règles suivantes :
    Les découplages entre les émissions et les réceptions des différents systèmes sur un même site
    doivent être supérieur à un minimum de 60 dB, et avoir pour objectif d’obtenir plus de 70 dB.
    Dans certaines configurations, il peut être nécessaire d’exiger 90 dB de découplage, par exemple
    afin que le niveau de champ fort sur des récepteurs tiers ne dépasse pas -20 dBm ou 10 V/m.
    Tous les équipements présents sur le site doivent respecter les normes de référence applicables.

    Concernant l’effet direct des rayonnements sur les équipements (couplage direct sans antenne), la
    Directive 89/336/CEE relative à la compatibilité électromagnétique dispose à son article 4 que les appareils doivent avoir un niveau adéquat d’immunité intrinsèque contre les perturbations
    électromagnétiques, leur permettant de fonctionner conformément à leur destination, cette
    disposition étant applicable dans un environnement « normal ».
    Ces exigences de protection sont présumées satisfaites si les appareils sont conformes aux normes
    européennes harmonisées en la matière. Généralement, et pour les fréquences comprises entre 30
    et 1000 MHz, cette valeur est fixée à 3 V/m pour les équipements susceptibles de fonctionner en zone résidentielle et de 10 V/m pour ceux susceptibles de fonctionner en zone industrielle.
    CCE 3 10 septembre 2001 »

    Nota1 : les valeurs on été modifiée en 2002 pour tenir compte des nouveaux pollueurs la limité des 3V/m est valable de 80MHz a 2,5GHz.

    Nota2 : lors des mesures d’immunité des appareils électroniques a usage domestique il n’est pas fait de différence entre une perturbation venant d’une antenne et une perturbation parasite indésirable.

    Les habitants utilisant des appareils conformes dont l’immunité est de 3V/m en environnement résidentiel sont ils de la chair à téléphonie mobile ?

    Comment se fait il que les règles de la compatibilité électromagnétique entre systèmes de communications soit appliquées de manière scrupuleuse et cachés scrupuleusement par cette agence quand elle compare les mesures aux seuls seuil thermique pour les habitants ?

    Sur cartoradio le GSM a 1800 Mhz est comparé a 60V/m soit 20 fois la limite des 3V/m ce qui est une escroquerie et une mise en danger délibérée de la vie d’autrui, car cette agence connaît parfaitement le risque lié a la violation des règles de la compatibilité électromagnétique vous pouvez le lire plus haut et viole les règlement prévus par la loi pour le prévenir..

    Cela prouve que la vie des habitants mise en danger par le biais des dispositif médicaux électroniques compte moins que des perturbation entre appareils de communications pour l’anfr.

    l’afsset ment, l’anfr ment , l’arcep ment et tous sur le même risque prévu par la loi, la désinformation se fait manifestement de manière concertée, il est impossible que tous ayant la connaissance du risque au coeur de leur domaine de compétence oublient de le signaler.

    Quand les sanctions vont tomber sur ces trois organismes et les experts alibis qui s’entendent pour cacher un risque ? Il faut des cadavres ?

  • Janvier 2006
    08:50

    ANFR : mesures : bonnes, présentation :nulle

    par Pluloin Lanten

    Le protocole de mesure de l’anfr est bien fait car avec les stations de bases a saut de fréquence generalisé la mesure est complexe et il permet de bien évaluer les niveaux maximum.

    Par contre il est faux de dire que l’anfr fait respecter la reglementation, l’anfr ne s’occupe jamais de faire respecter les principales exigences (ce qui serait le minimum) car elle ne s’occupe jamais de la compatibilité electromagnétique avec les appareils electroniques utilisés a domicile (niveau max acceptable 3V/m).

    Dans la présentation de ses mesures (cartoradio) elle compare les valeur relevées aux limites thermique alors qu’elle devrait les comparer a 3V/m si elle faisait respecter la loi !

    Cette pratique s’appelle de la désinformation sur les risques réels.

    L’anfr ne s’occupe donc que de la compatibilité entre émetteurs de télécommunication et de désinformer la population sur les risques réels par la présentation fallacieuse des résultats de ses mesures ne prenant pas en compte tous les risques.

    Dommage de saboter un bon travail dans le domaine de la mesure en le transformant en outil de désinformation.