Informatique et intergénérationnalité en CLIS-TSLA (CLasse d’Inclusion Scolaire, Troubles Spécifiques du Langage et des Apprentissages)

• Organisme porteur du projet :
Ville de Brest
Service Gestion des écoles / Service Internet et expression multimédia
2 rue Frézier
29 200 BREST

• Organisme partenaire du projet :
CLIS-TSLA
Ecole publique Guérin
1 Place Guérin
29200 BREST

Titre du projet :
Informatique et intergénérationnalité en CLIS-TSLA
Classe d’Inclusion Scolaire, Troubles Spécifiques du Langage et des Apprentissages

Responsables adminsitratifs et techniques

Agnès GOURMELON
Responsable service vie des écoles et patrimoine
Tel : 02 98 00 86 05
Courriel : agnes.gourmelon@mairie-brest.fr
Frédéric BERGOT
Responsable service internet et expression multimédia
Tel : 02 98 00 84 08
Courriel : frederic.bergot@mairie-brest.fr

Responsable sur le fond du projet
Chantal TERRIEUX
CLIS-TSLA
Ecole publique Guérin
1 Place Guérin
29200 BREST
Tel : 06 08 49 33 57

Table des matières

1.Présentation de la Ville de Brest et sa politique de développement des usages de l’internet et du multimédia

2.Présentation de la CLIS-TSLA de l’école publique Guérin

3.Naissance du projet

4.Les objectifs du projet

5.Les objectifs généraux

6.Au programme

7.L’estime de soi

8.Le lien intergénérationnel

9.Les premiers constats

10.Le matériel nécessaire

11.Le calendrier

1. Présentation de la Ville de Brest et sa politique de développement des usages de l’internet et du multimédia

Depuis près d’une quinzaine d’années, la Ville de Brest a engagé une politique volontariste basée sur une implication progressive des acteurs locaux et leur accompagnement afin de favoriser une équité d’accès aux usages d’internet sur le territoire.

Ainsi, l’ensemble des 70 écoles maternelles et élémentaires est progressivement équipé et aujourd’hui, toutes les classes sont équipées d’au moins un ordinateur.

Le parc informatique et multimédia des écoles représente aujourd’hui 800 ordinateurs (2 postes par classe en moyenne dans les écoles élémentaires et 1,5 postes en moyenne par classe dans les écoles maternelles), 65 appareils photos numérique, 12 caméras, des vidéoprojecteurs dans toutes les classes élémentaires, 9 chariots mobiles et 11 salles multimédia ouvertes sur les quartiers.

En parallèle de l’équipement des écoles, et pour faire en sorte que la diffusion des usages d’internet et du multimédia ne laisse pas de côté des personnes déjà en difficulté ou isolées socialement, la ville de Brest développe depuis 13 ans une politique d’appropriation sociale des usages de l’internet et du multimédia.

Dix ans après la mise en place des premiers « PAPIs », les points d’accès publics à internet, chaque année une dizaine de nouveaux acteurs, le plus souvent liés à l’insertion et au travail avec des publics en difficulté sociale, rejoignent le réseau des 100 PAPIs et permettent de toucher tous les publics en grande proximité.

Plus de la moitié des 30 projets soutenus chaque année dans le cadre de l’appel à projets multimédia concernent des publics de la politique de la ville ou des personnes en difficulté sociale en faisant de l’expression multimédia un outil de reconquête de l’estime de soi.

Les dizaines d’ateliers annuels autour de l’écrit public, des vidéos, du logiciel libre ont permis le développement de dizaines de blogs et de radios vidéos portées notamment par la plateforme « Médiablog coopératif ». Ces espaces d’initiatives et ces ateliers qui croisent les personnes sont le terreau de projets de territoires comme « Wiki-Brest » (un millier de contributeurs, 15 000 articles), le réseau des 8 sites participatifs, le projet « Cartes ouvertes au Pays de Brest », ou la « Maison du Libre ».

La politique publique est ici une co-construction : c’est de la rencontre du projet « internet de quartier sur Kérourien » et du projet « internet de rue » (ATD quart monde) qu’est née notre compréhension du multimédia outil de valorisation des personnes et de reconquête de l’estime de soi.

Le site participatif « Repères dans la cité » qui associe comme co-administrateurs 60 associations de l’insertion et de l’action sociale rend compte de cette appropriation aujourd’hui partagée par des dizaines d’acteurs de l’action publique sociale au départ fort éloignés de l’internet et du multimédia.

L’internet pour tous à 1€ par mois mis en œuvre sur Kerourien, quartier politique de la ville nous a montré la difficulté et le temps long de l’appropriation par les personnes qui n’ont ni usage ni habiletés nécessaires à l’interaction avec l’écran informatique. Là aussi, c’est la pratique du travail en réseau entre association d’éducation populaire, centre social, association de locataires, bailleur social et acteurs du quartier qui nous a permis d’impliquer 10 à 15% de personnes jusque là sans usage ni outil.

Aujourd’hui, dans le domaine des écoles, la ville tend à consolider le parc informatique mis en réseau et à accompagner le développement des usages.

Lorsque l’enseignante de la CLIS-TSLA de l’école Guérin nous a présenté son projet informatique, c’est avec intérêt que nous avons accepté de porter cette initiative dans le cadre de l’appel à projets multimédia du Pays de Brest.

2. Présentation de la CLIS-TSLA de l’école publique Guérin

La CLIS-TSLA se situe dans l’école Guérin au centre ville de Brest et côtoie 4 autres classes : CP ; CE1 ; CE2/ CM1 et CM2, dans des locaux récemment rénovés.

Après avoir été nommée CLIS TA (Troubles des Apprentissages) l’année de sa création en 2003, elle est devenue ensuite CLIS-TSA (Troubles Spécifiques des Apprentissages). En effet, dès la première année il a été constaté que des enfants ayant des troubles des comportements ne pouvaient que perturber trop fortement une classe d’enfants dyslexiques et dysphasiques. Ils ont besoin de calme pour se concentrer suffisamment. Redevenue CLIS-TA en 2009 elle apparaît désormais CLIS-TSLA (Classe d’Inclusion Scolaire Troubles Spécifiques du Langage et des Apprentissages) sur les notifications MDPH des élèves.

Cette année la classe compte 12 inscrits, 4 enfants sont dyslexiques, les 8 autres sont dysphasiques.

Il est à noter que cette classe est unique dans l’enseignement public, au niveau du Finistère mais également, à notre connaissance, de la Bretagne.

Les enfants présents dans la classe viennent de Brest et de diverses communes autour de Brest, dans un rayon de 30km environ.

Le but, après 2 ans de présence dans la classe, est de leur permettre de retourner dans l’enseignement « ordinaire ».

Le premier objectif est alors de les faire se reconstruire, qu’ils aient à nouveau une image positive d’eux-mêmes, de leur faire découvrir le goût d’apprendre.

Les troubles spécifiques des apprentissages :

Les troubles spécifiques des apprentissages désignent les symptômes résultant de troubles cognitifs et s’extériorisant principalement à l’école : dyslexies, dysorthographies, dyscalculies, dysgraphies. On y adjoint traditionnellement les troubles spécifiques du développement du langage (dysphasies), bien qu’il ne s’agisse pas d’un apprentissage au sens strict) mais plutôt d’une acquisition (secondaire à une exposition à un environnement adapté).

La dysphasie :

La dysphasie est un trouble spécifique du développement du langage oral, caractérisé par l’existence d’un déficit linguistique significatif. Il y a 2 sortes de dysphasie : celle d’expression et celle de réception, avec des cas de dysphasie mixte : de réception et d’expression.

La dyslexie :

Si l’on se réfère à l’étymologie grecque du mot "dys" signifiant difficulté et "lexis" le lexique, les mots, la dyslexie serait fondamentalement un trouble du langage.

Répartition des troubles dominants des enfants de la classe :

4 enfants sont dyslexiques, l’un d’eux présente également des troubles du langage oral.
8 enfants sont dysphasiques (la dysphasie s’accompagne très souvent de troubles dyslexiques). On distingue 2 catégories de dysphasie : une dysphasie de compréhension et une dysphasie d’articulation, dans la classe 9 élèves ont des problèmes au niveau de l’articulation, 3 d’entre eux présentent une dysphasie mixte.

Projet écrit et présenté par l’enseignante de la CLIS-TSLA

3. Naissance du projet

L’an passé, en arts visuels, nous avons travaillé sur le portrait. Nous avons beaucoup utilisé l’ordinateur à cet effet, notamment pour transformer des photos, imaginer divers montages, …

Lorsque les parents de l’école ont vu le résultat, certains nous ont fait remarquer qu’ils ne seraient pas capables d’en faire autant. Ceci nous amena à leur proposer, pour la rentrée suivante, des cours.

Puis nous n’avons plus songé à cette idée, jusqu’à ce que la grand-mère d’un des élèves de cette année, voyant nos ordinateurs, nous dise qu’elle n’y connaissait rien, qu’elle aimerait savoir s’en servir mais qu’elle ne sait pas où prendre des cours.

Nous en avons donc reparlé en classe et réfléchi à l’idée de l’an passé de proposer des cours d’informatique pour adultes débutants, donnés par les enfants de la classe.

Devant l’enthousiasme des enfants je ne pus que monter le projet afin de le soumettre à l’approbation de l’inspecteur de la circonscription.
L’idée de départ a été d’organiser une séance par semaine pour 4 adultes pris en charge par 4 enfants volontaires de la classe, le lundi de 15H45 à 16H45. Une information a été faite en ce sens auprès des parents d’élèves, d’anciens parents que nous savions intéressés mais aussi à l’extérieur de l’école (médiathèque St Martin, ...).

L’intérêt suscité a été plus important que ce que nous pensions, outre 2 mères d’élèves, nous avons inscrit la grand-mère d’un élève mais aussi la mère d’une élève qui a quitté notre classe voilà plus de 2 ans pour suivre un CM1 puis un CM2 dans l’école Guérin et maintenant être scolarisée en 6ème. Grâce aux affiches que nous avions mises à l’école mais également à la médiathèque St Martin, un homme du quartier est également venu s’inscrire et la grand-mère d’un autre élève de la classe a rejoint le groupe depuis la rentrée des vacances de noël. De fait, nous avons dû réorganiser nos cours : un groupe vient en cours le lundi et travaille particulièrement sur le traitement d’images (photos modifiées, montages à partir de plusieurs images, réalisation de diaporamas musicaux, …) ce sont des adultes qui ont déjà utilisés un ordinateur mais généralement uniquement pour du traitement de texte ou pour l’envoi de courriels et visites de sites internet. Un autre groupe vient le jeudi, là on travaille sur les bases (allumer et éteindre un ordinateur, utiliser un traitement de texte, …), il s’agit d’adultes qui n’avaient pas eu accès à l’informatique jusque là.

Le projet a été présenté lors du conseil d’école du 1er trimestre. Un représentant du Patronage Laïque Guérin (intervenant à l’école) étant présent s’est montré intéressé et a demandé s’il était possible de nous adresser des personnes qui souhaiteraient prendre des cours d’informatique, faute de place à ceux du PL. D’autre part, il nous a proposé de nous prêter du matériel nécessaire (caméscope, ordinateur portable avec table de mixage de films,…) dans l’attente que nous ayons ce matériel dans la classe.
Outre l’affichage à l’école et à la médiathèque et des affichettes distribuées dans les familles, les enfants ont annoncé ces cours sur le blog de l’école, qu’ils gèrent pour la 2ème année (les autres classes leur fournissent, si elles le souhaitent, des articles ou des images et les enfants de la CLIS se chargent de tout mettre en ligne).
L’informatique est un outil très utilisé par la classe, en lecture, en arts plastiques, en découverte du monde pour diverses recherches, également au niveau correspondance scolaire puisque les enfants de la classe ont des correspondants dans un collège du Canada et les échanges se font par courriels ; …
Les enfants donnent les cours à tour de rôle. Il est convenu qu’un enfant ne donne pas de cours à un membre de sa famille et qu’il faut être volontaire pour donner un cours, s’il y a plus de volontaires que d’adultes présents il peut arriver que 2 enfants s’associent pour donner le cours ensemble.

Le premier cours a été donné le 8 novembre, le but étant de poursuivre toute l’année mais également l’an prochain, puisque plusieurs enfants seront encore présents dans la classe et se montrent particulièrement intéressés par cette activité.
En fonction des résultats observés et du volontariat des élèves le but reste de pouvoir pérenniser cette activité dans la classe, d’autant qu’on voit déjà des apports positifs dans la classe (les enfants ont pris de l’assurance, s’expriment plus facilement lors des autres activités, …).

4. Les objectifs du projet

D’abord pour les enfants acquisition des objectifs du B2i (tout en les transmettant) :

  • S’approprier un environnement informatique de travail
  • Adopter une attitude responsable
  • Créer, produire, traiter, exploiter des données
  • S’informer, se documenter
  • Communiquer, échanger

5. Les objectifs généraux

  • Valoriser l’image que les enfants ont d’eux-mêmes : ils ont des savoirs et peuvent les transmettre
  • Liens intergénérationnels : le savoir n’est pas à sens unique (personnes plus âgées transmettant aux plus jeunes), chacun peut apprendre de l’autre
  • Travail sur la communication : il faut s’exprimer par les mots justes et des phrases correctes pour que l’autre comprenne
  • Prolongement du travail informatique de la classe : gestion du blog de l’école ; suivi de l’expédition Tara Océan, création de diaporamas, ...

6. Au programme

  • Apprendre à allumer l’ordinateur, ouvrir un programme, lire un CD ou un DVD
  • Se servir d’un logiciel de traitement de texte : rédiger un texte, le mettre en forme, l’enregistrer dans un dossier que l’on a créé, l’imprimer,...
  • Se servir d’une messagerie pour envoyer ou recevoir des courriels
  • Utiliser une messagerie instantanée de type « Skype » pour envoyer des messages écrits mais aussi avoir des échanges oraux, éventuellement avec webcam (si nous réussissons à nous en procurer)
  • Se connecter à Internet ; ouvrir une page sur le net ; procéder à une recherche ; enregistrer les renseignements trouvés ; garder une page en mémoire,...
  • Utiliser des logiciels de gestion des images, pour enregistrer des images, les améliorer, les transformer
  • Prendre des photos numériques, les transférer sur l’ordinateur, les enregistrer, les effacer de la carte mémoire de l’appareil photo, ...
  • Scanner des documents, images ou textes pour les conserver sur l’ordinateur mais aussi pour les transformer (utilisation d’un logiciel de reconnaissance de caractères)
  • Créer un blog, le mettre à jour,...
  • Utiliser un vidéo-projecteur
  • Réaliser un diaporama musical
  • Rédaction d’un document reprenant le cours donné précédemment avec des photos explicatives

7. L’estime de soi

Outre le fait que ce projet va permettre aux enfants de la classe de travailler les objectifs du B2i, pour moi, il pouvait leur permettre de retrouver l’estime d’eux-mêmes et de se sentir en confiance face à leurs apprentissages.

8. Le lien intergénérationnel

A travers ce projet nous sommes aussi amener à travailler les liens intergénérationnels. Cela est très important dans le cadre de l’apprentissage de la citoyenneté : pour le respect d’autrui, la solidarité, le partage.
La solidarité entre les générations est l’un des enjeux essentiels de notre société.
Les objectifs à ce niveau sont donc de :

  • Elargir l’ouverture vers l’extérieur
  • Découvrir les autres, au-delà des préjugés, de l’apparence,…
  • Valoriser le savoir-faire de chaque génération en montrant la complémentarité d’intérêts et de bénéfices
  • Assurer la transmission de la culture entre générations, qui est un support de socialisation c’est-à-dire un apprentissage du « vivre ensemble

9. Les premiers constats

Outre les changements d’attitude de certains enfants notamment au niveau de la prise de parole en classe, on s’aperçoit que d’ores et déjà des liens se sont tissés entre les enfants et les adultes. En effet certains adultes s’étant créé une adresse électronique ont demandé à avoir celle de la classe afin de pouvoir échanger avec les enfants entre 2 cours (et leur montrer qu’ils travaillent chez eux)
Je note aussi que les adultes expliquent tout le bien qu’ils ressentent en venant au cours (notamment les plus âgés), outre le fait d’apprendre à se servir de cet outil, ils passent un moment agréable auprès des enfants, et oublient leurs soucis pendant ce temps.
Certains adultes m’ont aussi expliqué qu’ils avaient déjà essayé de prendre des cours d’informatique mais qu’ils en avaient été très vite « dégoûtés » à cause de la façon d’assurer ces cours (un adulte va montrer très rapidement ce qu’il faut faire puis « abandonner » « l’élève » car il n’arrive pas à se mettre à sa place et ne prend pas en compte les difficultés à comprendre les diverses manipulations. Au contraire avec les élèves de la classe cela se passe lentement, au rythme de chacun. Les enfants, en situation de handicap, savent les difficultés que l’on peut avoir à apprendre quelque chose de nouveau et apprécient qu’on avance à leur rythme alors ils reproduisent naturellement ce schéma lorsqu’ils enseignent.

10. Le matériel nécessaire

Afin de mener à bien ce projet nous avons besoin de matériel informatique spécifique qui n’est pas encore dans la classe :

(Actuellement, la classe est déjà dotée de 4 ordinateurs de bureau)

  • 1 vidéoprojecteur interactif et son tableau blanc sachant que les enfants dysphasiques ou dyslexiques ont la plupart du temps des problèmes de vision associés à leur handicap.
  • 1 webcam par ordinateur dans la classe notamment pour les communications via des messageries instantanées ;
  • 1 casque-micro par ordinateur ;
  • 1 scanner ;
  • 2 appareils photos permettant de prendre des photos pour les activités et d’apprendre à se servir des logiciels de traitement d’images ou de réaliser des diaporamas ;
  • 1 caméscope, pour apprendre à réaliser un film mais également pour filmer les séances de cours données par les enfants ;
  • 1 enregistreur numérique pour réaliser des reportages (le son devant servir pour des diaporamas-documentaires) ;
  • 1 ordinateur portable et sa mallette, (utiliser lors des reportages, mais aussi pour présenter le travail effectuer ailleurs que dans la classe)
  • 1 écran de projection pour présenter les réalisations des enfants et des adultes venant prendre des cours dans la classe, aux autres enfants et adultes de l’école.

11. Le calendrier

Du mi-mai à septembre 2011 :
Etude sur les besoins en équipements informatiques (définition, consultation, commande,...)
Réflexion sur les usages

De septembre à décembre 2011 :
Equipement de la classe en nouveau matériel (configuration des matériels, installation, aide à la prise en main par l’enseignante)
Prise en main des équipements avec les élèves

Janvier à Juin 2012 :
Expérimentation d’usages

Juillet 2012/Octobre 2012 :
Premier bilan des usages et rédaction du rapport d’activité dans le cadre de l’appel à projet.
Réflexion sur les perspectives, les évolution pour la poursuite du projet.
Fin du projet dans le cadre de l’appel à projet.

Septembre 2012 à juillet 2013 et … :
Poursuite du développement des usages.
Pérennisation du projet.

Posté le 1er décembre 2011 par Valérie Picolo

©© a-brest, article sous licence creative common info