Longueur d’ondes propose...

"L’île de T." à Brest

Un spectacle sonore, théâtre pour l’oreille / une création de de Pascal Rueff, avec Morgan Touzé

En lieu et place de ses habituels apéros d’écoute, Longueur d’ondes vous
propose une séance exceptionnelle ce vendredi 27 mai 2011.
Pascal Rueff, ingénieur du son et poète, est de retour à Brest pour son
spectacle L’île de T., déjà proposé lors du dernier festival de la radio et de l’écoute mais que beaucoup n’avait pu voir/écouter et que nous avons décidé de reprogrammer, en pleine actualité "catastrophico-nucléaire" qui plu est...

L’île de T. est un voyage sonore sous casque - en immersion dans le son 3D - et en transat à partir de plusieurs expériences documentaires à
Tchernobyl depuis 2006, évoquées avec beaucoup de finesse par
l’environnement sonore et les voix de Pascal Rueff (auteur) et Morgan
Touzé (comédienne).

Cette séance aura lieu le vendredi 27 mai à 18h30 à la faculté Victor
Segalen
(20 rue Duquesne) et sera suivie d’une discussion sur l’expérience
de Pascal Rueff et Morgan Touzé.

Plein tarif : 10 euros / 8 euros tarif réduit pour les étudiants et
chômeurs. Les places sont très limitées du fait du nombre de casques
disponibles.
RESERVATION INDISPENSABLE avant le 26 mai au 02 98 49 00 15
ou par mail (festival@longueur-ondes.fr).


pour en savoir plus...

L’île de T.
Théâtre pour l’oreille / une création de de Pascal Rueff, avec Morgan
Touzé Pièce pour trois voix et un mannequin de prise de son /
Sonorisé par l’Abécédaire de T.

"Une terre inconnue dont l’approche magnétise au risque que l’on s’y perde
totalement. Une insularité qui captive pour le T. d’un grand tout. Le
trauma
d’une fin de vingtième siècle hantée par l’apocalypse..."

Trente personnes assistent à une espèce de conférence. Un type fait le
point sur cinq ans de voyages dans une île d’Europe continentale, l’île de
T., apparue vers la fin du vingtième siècle. L’île est mystérieuse, le
conférencier parle rauque, l’assistance est munie de casques. Par le biais
d’un mannequin, qui a séjourné dans l’île, des blocs de temps sonore,
indigènes et troublants, font peu à peu glisser la conférence vers le
chuchotis. Tiré d’une expérience authentique, l’île de T. explore le mur
transparent du monde après l’Homme : les références manquent absolument et
le corps n’a pas d’avis tranché.

www.tchernobyl.fr

Posté le 23 mai 2011 par Longueur d’ondes

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