Savoirs collaboratifs et médiations – Webinaire biens communs numériques

000076Séance #4 _ Savoirs collaboratifs et médiations _ Master Recherche InfocomJ’ai eu le grand plaisir d’intervenir à la 4e séance du webinaire « Biens communs numériques », organisé par le Master recherche Infocom de l’université Paris Ouest et coordonné par Louise Merzeau, en partenariat avec SavoirsCOM1, le Pôle Métiers du Livre de Saint-Cloud et le Master « Architecture de l’information » de l’ENS de Lyon dirigé par Jean-Michel Salaün.

Le thème de la séance était Savoirs collaboratifs et médiations et nous étions invités avec Pierre-Carl Langlais, contributeur et administrateur de Wikipedia. J’étais quant à moi invité en tant que co-fondateur de SavoirsCom1. Très sympa qu’Hélène Mulot, une des documentalistes les plus intéressantes d’aujourd’hui se soit jointe à nous à propos du document de collecte.

Je vous invite vraiment à regarder cette séance et plus largement à suivre à distance en direct ou en différé ou sur twitter les précédentes séances et celles qui vont suivre. Si vous êtes pressés, vous pouvez jeter un oeil à la prise de note collaborative ou à l’archive des tweets.

La qualité des questions était très bonne et j’ai pris un plaisir particulier à répondre aux questions en croisant des thématiques qui m’intéressent : biens communs, bibliothèques, médiations numériques, dispositifs, appropriation et transmission, enclosures… Rarement j’ai eu une telle occasion de m’exprimer sur l’ensemble de ces sujets, notamment pour briser quelques idées reçues sur les tiers lieux, les communs et la médiation !

Si vous vous intéressez à Wikipédia, vous apprendrez également beaucoup de choses en écoutant Pierre-Carl !

Je retiens pour ma part une idée importante explicitée par Louise Merzeau, à savoir que les biens communs ont cette capacité à penser et à formaliser leur propre transmission et leur propre mémoire, notamment par les mécanismes de partage à l’identique… voilà une différence assez claire avec les communs de la nature, qui ne signifie pas pour autant que les communs numériques sont plus pérennes que leurs cousins de la nature.

Via un article de Silvère Mercier, publié le 17 mars 2014

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