La MAO (Musique assistée par ordinateur) est le terme le plus souvent employé pour définir ou caractériser l’accès à l’informatique musicale.
Le mot MAO est souvent utilisé par simplification (en référence à la PAO (Publication assistée par ordinateur)) et peut être interprété de différentes manières :
- soit effectivement dans un cas précis d’assistance plus ou moins puissante (logiciel générateur d’accords, arpégiateur, arrangeur, boite à rythme, certains DtD (Direct to disk)…).
- un terme global ou l’informatique (traitement de données) dépend entièrement de l’utilisateur. C’est un outil au même titre qu’un bloc note / crayon avec une meilleure rapidité / efficacité bien sur ! (éditeur de partition, écriture / arrangement, enregistrement de données audio ou MIDI…).
- Un mélange équilibré des deux systèmes.
Personnellement j’ai choisi une approche ou l’ordinateur ne « m’assiste » pas, c’est mon coté « geek » artiste / bidouilleur / expérimentateur qui ressort 
L’apprentissage des fonctions de base d’un logiciel se révèle souvent rapide ; tout dépendra des besoins, de « l’approche » informatique de l’utilisateur, de l’accessibilité du programme (Ergonomie) et de la fiabilité du système. Cette fiabilité est souvent mise en défaut, elle doit être optimum pour éviter l’abandon
pur et simple de l’usage informatique (d’où l’usage du système Linux).
Les logiciels peuvent être classés globalement en différentes catégories suivant
le public visé : Logiciel d’écoute, d’enregistrement, d’arrangement, de création, d’édition d’évènements MIDI…
L’usage peut être dédié à une tache avec l’avantage d’être peu gourmand en ressources (système peu puissant), stable, relativement simple et peu onéreux ou à plusieurs taches avec une certaine puissance, le coté tout en un.
Si l’ordinateur est employé en tant qu’instrument de musique (synthèse virtuelle, séquenceur / générateur de sons en boucles…), il peut appartenir à plusieurs catégories.
Cela débouche naturellement sur la création, les possibilités sont infinies (en relation directe avec l’imagination et les possibilités sonores du système utilisé). L’utilisation simultanée de différents logiciels débouche sur la notion de studio virtuel.
L’ajout de matériel (instruments, sonorisation, effets…) et hop ! un Home studio ! (studio à la maison).
L’utilisation de logiciels sur système Linux permet de débuter avec un faible investissement pour une qualité globale excellente, une modularité et une interopérabilité extrême 
En tout cas, j’ai trouvé mon bonheur avec le coté libre qui est épatant en plus (cela ce découvre au fur et à mesure )
2001 / 2012 
